Nom: Erawiel d’Ankarath
Âge: 137, ce qui donne approximativement dans la vingtaine en âge d’humain
Provenance: Dalaryl, la Citée souterraine
Un but que votre personnage souhaite atteindre: se trouver un but -_-
Signe particulier: elle a des runes d’incantations gravées sur ses avant-bras
Race: elfe noire
Classe: nécromancienne
Pouvoir spéciaux: ramener les morts à la vie sous son contrôle, et manipuler à sa guise les âmes des défunts (pas besoin de m’avertire, je n’abuserai pas de mon pouvoir ¬¬)
Monture: aucun besoin d’avoir une monture propre à elle, elle les vole au besoin
Arme(s): bâton de mage à l’allure morbide et un cimeterre ouvragé
Description physique: elle a les cheveux argentés aux teintes bleutées, sa peau est d’un noir de jet, et son regard froid est ponctué de pupilles grisâtres et sans vie. Elle n’est pas bien grande, mais c’est à son avantage car elle n’aime pas se faire remarquer.
Qualités et défauts: ses qualités font ses défauts, et ses défauts peuvent devenir ses qualités. Pour les différencier, le jugement vous revient. Elle est orgueilleuse, avare, égocentrique, solitaire, manipulatrice, d’une arrogance insoutenable, elle a un sens de l’esthétisme irréprochable, du charisme, de la culture, un humour sombre tirant sur le sarcasme, et un dédain prononcé pour les autres membres de sa propre race.Elle ne gratifie personne ni de bienveillance, ni de compassion.. encore moins d’attachement.
Histoire de votre personnage: Dans notre monde, nous n’accordons que très peu ou aucune confiance aux autres, surtout à ceux que l’on côtoie fréquemment. Ce prologue établi, voici mon histoire. Je n’ai jamais été un personnage important dans notre pays. J’ai certes participé à plusieurs combats contre les elfes communs, mais en m’assurant de toujours passer inaperçu. Sur le champ de bataille, je m’amusait à augmenter notre armée en faisant revivre sous mon contrôle les cadavres des elfes que j’avais massacré. Quand les combats étaient terminés, je les détruisais sur-le-champ pour rester discrète. Un jour, le roi lui-même était venu combattre, pensant mettre un terme à cette ère de haine entre nos deux races. Je me souviendrai toujours de la tête qu’il a fait en voyant ma petite armée personnelle terrasser ses hommes avant de s’en prendre à lui! C’est sous la griffe d’un de mes revenant qu’il rendit son dernier souffle. Emportée dans mon élan meurtrier, je n’ai pas pensé que la tombée du roi attirerait toute l’attention sur moi et ma troupe de cadavres ambulants. En Dalaryl, la pratique de la nécromancie est passible de peine de mort. Ces fous prétendent que nous n’avons aucun droit en tant que mortels d’asservir des âmes. Je du quitter les lieux au plus vite, mais ma tentative échoua; un des général m’avait rattrapé et m’a emmené devant la prêtresse suprême de la cour qui me jugea coupable sans même daigner entendre l’histoire. On me réservait la potence dans les 4 jours suivant ma sentence. Comme si j’allais attendre ma fin venir sans protester. Quels imbéciles furent-il de m’enfermer à a peine 50 pas du lieu d’exécution. Jour après jour je voyais des condamnés monter sur l’échafaud, jour après jour je m’appropriais leurs esprits pour m’aider à sortir de ce trou à rat. Le 3e jour passé dans la cellule fût mon dernier jour dans le monde sous-terrain. Je commandai à mes nouveaux "servants" de me débarrasser des gardes qui surveillaient mes barreaux, les laissant derrière moi se faire abattre pour la 2e fois dans leur existence. Profitant de l’agitation créée autour des défunts soldats, je me suis faufilée vers l’issue unique de ma citée. Enfin je suis sortie… en exil, loin de tout ce qui a pu un jour m’être familier. Je suis sortie. Et pour la première fois je vois la lumière de la lune.
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Mer 31 Déc 2008 - 13:11
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